Les clés de la pensée positive
Lorsque vous pensez positivement vous libérez des ondes positives qui sont ressenties aussi par votre entourage. Voilà pourquoi il est important d’avoir le plus souvent possibles des pensées positives. Car, lorsque vous vous focalisez sur vos problèmes, vous ramenez des pensées négatives dans votre vie. Et plus vous pensez négatif, plus le négatif se multiplie. Alors, il faut dès à présent vous habituer à transformer vos pensées négatives en pensées positives, votre esprit sera beaucoup plus concentré sur vos buts et vos idées positives et les pensées négatives resteront à l’écart.
La maîtrise de la pensée positive, c’est surtout aussi apprendre à gérer vos émotions, qu’elles soient positives ou négatives. Car, pour que la pensée positive fonctionne, il faut penser avec votre cœur, votre intuition et surtout relativiser les choses négatives qui peuvent elles aussi finalement avoir un aspect positif en deuxième abord. Pratiquer la pensée positive au quotidien peut vous maintenir en meilleure santé physique et psychique. Bien sûr cette méthode fonctionne à condition d’en avoir la conviction, cette philosophie de vie vous rendra plus fort pour affronter justement les difficultés de la vie au quotidien.
La pratique au quotidien
Une relaxation d’environ 15 minutes va vous permettre d’évacuer toutes les énergies négatives et vous permettre de faire un lâcher prise. Pendant cette relaxation, vous allez pouvoir faire une représentation mentale précise de ce que vous désirez voir se réaliser. Ensuite, vous la garderez à l’esprit et vous pourrez alors affirmer avec conviction et à haute voix : « je le veux, je veux que cela se réalise ». Par contre ne tombez pas dans l’obsession de la réalisation des choses, laissez faire, laisser venir. Car, le principal, c’est que vous gardez à l’esprit vos objectifs toujours dans un état de pensées positives et d’intentions pures. Car il y a une règle à respecter les formulations doivent être toujours de formes positives, car, attention à l’effet boomerang.
